Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes ou sur Twitter. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Premier bilan à mi-parcours : Planche-contact : mots clés
Les esprits s’affirment, péremptoires, leurs corps disparaissent. Avancer entre ce clair et son obscur, entre ce sombre et sa brillance perdue. Un temps horizontal, presque létal, sans tension ni risque de chute. S’éveiller à l’heure où les bras s’écartent de l’ombre. Par nature, il avait été fait pour prendre un chemin de l’esprit. Au milieu du chaos comme un repère ou comme un premier mot conquis sur le babil du monde. Le présent d’un autre mode, dédoublé terrible et merveilleux.
Les esprits s’affirment, péremptoires, leurs corps disparaissent. géolocalisation // peau de lapin, variante (Gadins et bouts de ficelles)
Avancer entre ce clair et son obscur, entre ce sombre et sa brillance perdue. Les extravagances ordinaires (Christophe Sanchez)
Un temps horizontal, presque létal, sans tension ni risque de chute. La fin du monde a déjà eu lieu (Céline Renoux)
S’éveiller à l’heure où les bras s’écartent de l’ombre. Les sentiers perdus (Lionel Dujol)
Par nature, il avait été fait pour prendre un chemin de l’esprit. Par nature (François Matton)
Au milieu du chaos comme un repère ou comme un premier mot conquis sur le babil du monde. le fauteuil de Matisse ? (Jérémy Liron)
Le présent d’un autre mode, dédoublé terrible et merveilleux. Écrire ces temps-ci pour moi, Cécile Mainardi (Terres de femme, Angèle Paoli)