Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes ou sur Twitter. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Premier bilan à mi-parcours : Planche-contact : mots clés
Renseigne-toi sur le réseau et les correspondances. Rentrer, par l’oeil, par le je, dans la fiction. Ici, dans l’enregistrement, tout est présent, trop présent, même l’inutile. Écrire n’est pas oublier. C’est photographier le temps. L’irrégularité, de ce qui n’est ni de niveau, ni plat, ni régulier. La variation du relief. Pas de volte-face, l’autre côté peut attendre, que guette l’au-delà. Jongler avec les détours. Pendant que d’autres chemins sont encore possibles, s’enfoncer.
Renseigne-toi sur le réseau et les correspondances. Berlin prévu (4) (Dominique Hasselmann)
Rentrer, par l’oeil, par le je, dans la fiction. Construire (Cécile Portier)
Ici, dans l’enregistrement, tout est présent, trop présent, même l’inutile. Paysage sonore, discontinu et oubli (Daniel Deshays, Le blog documentaire)
Écrire n’est pas oublier. C’est photographier le temps. 2. Corrosion (Isabelle Pariente-Butterlin)
L’irrégularité, de ce qui n’est ni de niveau, ni plat, ni régulier. La variation du relief. La caresse irrégulière du caractère (Karl Dubost)
Médiathèque de l’Astrolabe, 25 rue du château, Melun, vendredi 7 août 2012, 16h. Pas de volte-face, l’autre côté peut attendre, que guette l’au-delà. Hors-champ (Elisabeth Lamiscarre)
Jongler avec les détours. Pendant que d’autres chemins sont encore possibles, s’enfoncer. Les Jungles, de Virginie Gautier (Vases communicants, Juliette Mézenc)