Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes ou sur Twitter. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Premier bilan à mi-parcours : Planche-contact : mots clés
Revisiter sa propre ville comme si c’était une autre ville. La mémoire est pour l’un ce que l’histoire est pour l’autre. Entrer dans le paysage, suivre les lignes, changer de temps. On n’entend pas le bruit des moteurs, seulement celui que fait la brosse sur la toile. La nature révèle la nature de l’infrastructure. Savons nous observer ? Lumière couchée sur la route violet de la nuit. Le silence intense transperce la terreur – on ne voit pas son visage.
Revisiter sa propre ville comme si c’était une autre ville. LAboratoire de TOURisme EXpérimental (LATOUREX)
La mémoire est pour l’un ce que l’histoire est pour l’autre. Images documentaires n°15 (Chris Marker)
Entrer dans le paysage, suivre les lignes, changer de temps. Inclusions du paysage (Delphine Regnard)
On n’entend pas le bruit des moteurs, seulement celui que fait la brosse sur la toile. Pas mal de sacrifices (Lucien Suel)
La nature révèle la nature de l’infrastructure. Savons nous observer ? La nature révèle (Karl Dubost)
Lumière couchée sur la route violet de la nuit. “Couleur” – Échange avec Maryse Hache (Louise Imagine)
Le silence intense transperce la terreur – on ne voit pas son visage. Jean-Yves Fick chez ana nb pour les Vases communicants