Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilDans son article Le mur qui efface les migrants, paru le 1er septembre sur son site, Olivier Ertzscheid interrogeait à juste titre notre positionnement et/ou notre engagement politique face à l’afflux des migrants : « Désemparés devant l’afflux et la violence des situations autant que paralysés par la neutralité sémantique du mot. Les mots ne désignent pas seulement la réalité. Ils décident de notre manière de l’appréhender, de la traiter, et comme nous le verrons plus tard, de la documenter. » « Et (...)