Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| Accueil« qu’aujourd’hui, parce que j’étais absent, il ne me reste plus que cette pratique de faussaire : l’écriture. » « Longtemps l’Italie a été un fantasme, tantôt une honte ou une fierté, une fiction le plus souvent, écrit Christophe Grossi dans la postface de son livre paru aux éditions L’Atelier contemporain. Elle était un trou, une présente absence, une ouverture, des histoires possibles, multiples, infinies. J’aurais pu enquêter, remonter le fil, interroger ceux qui auraient connu quelqu’un qui aurait (...)