Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilOn sait très bien pourquoi on a pris cette photo, le cadre, la lumière, on s’est légèrement baissé pour que l’eau de la piscine accapare plus de la moitié de l’image et reflète le ciel avec son nuage esseulé, et projette sur l’eau d’un bleu liquide les branches des oliviers alentour.
Les probabilités de rencontres et de collisions sont devenues quasiment infinies.
Je ne suis jamais seul avec mes livres, avec la musique que j’ai choisi d’écouter, avec mon polylogue intérieur.
En 1969, l’année de ma (...)