Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Ce n’est pas tant l’œil qui s’ajuste au monde que le regard. Finir la journée par un geste qui pèse dans la balance, la notre, interne. Nous ne craignons rien ; nous sommes les plus forts, la preuve c’est écrit. Faire entrer, un instant, un sourire de la lumière, pour animer la pénombre de l’antre. Les idées s’enchainent comme pour un montage. Il a une phrase s’il n’y a pas d’image peinte il n’y a pas de mouvement. C’est comme marcher sur l’eau, marcher au-dessus du gouffre.
Ce n’est pas tant l’œil qui s’ajuste au monde que le regard. Sous le regard (Jérémy Liron)
Finir la journée par un geste qui pèse dans la balance, la notre, interne. Du jour : 31 mai 2012 (Joachim Séné)
Nous ne craignons rien ; nous sommes les plus forts, la preuve c’est écrit. Le Port, épisode 2. Dissuasion nucléaire (Scriptopolis)
Faire entrer, un instant, un sourire de la lumière, pour animer la pénombre de l’antre. Trouver l’amitié dans l’ombre (Brigitte Célerier)
Les idées s’enchainent comme pour un montage. L’arrivée du livre (Hélène Delprat)
Il a une phrase s’il n’y a pas d’image peinte il n’y a pas de mouvement. « Vrac conversations » de Claude Favre, 2 (Feuilleton sur Poezibao)
C’est comme marcher sur l’eau, marcher au-dessus du gouffre. Sans effusion, de Cécile Portier (Remue.net)