Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
En chemin toujours ces visages que je pourrais jurer avoir déjà vu la veille ou il y a un an. La rue n’est pas uniquement un lieu d’exposition des formes d’écriture. Vent frais. Bruit de train. Klaxons et moteurs. Consacrer du temps, s’obstiner, creuser. Nom comme nourriture, lueur de la lettre, sous la peau. Toute parole dénouée dans son lit de questions. Un impérieux désir de voir plutôt que de connaître.
En chemin toujours ces visages que je pourrais jurer avoir déjà vu la veille ou il y a un an. Morceau de rue (Joachim Séné) sur Fenêtres Open Space (Anne Savelli)
La rue n’est pas uniquement un lieu d’exposition des formes d’écriture. (Scriptopolis)
Vent frais. Bruit de train. Klaxons et moteurs. Urbain trop urbain
Consacrer du temps, s’obstiner, creuser. à sauts & à gambades, Maxime Durisotti
Nom comme nourriture, lueur de la lettre, sous la peau. Contre l’épisode, d’Esther Tellermann (par Tristan Saulnier), Poezibao, Florence Trocmé
Toute parole dénouée dans son lit de questions. Abadon, (Michèle Dujardin), Roi de verre
Un impérieux désir de voir plutôt que de connaître. Encore l’été, mais déjà l’automne (Paul-Armand Gette)