Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn se retournant sur ce qu’ils aiment pour en prouver le souvenir, pour l’avenir, une politesse de saison. Je souris dans le vide. En un certain ordre de l’air passe, sous mon parapluie, isolé des autres et de la pluie, les gouttes applaudissent au spectacle de la rue, contre les nostalgie de moi-même. C’est merveilleux je t’aime. Et en vérité davantage encore. Du vide passe, du jour, à travers, avant mademoiselle nue. A la lettre comme au pied. La main glisse et le pied laisse sa trace vague sur la (...)