Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilCe que la ville change à nos corps ? Comment nous transforme-t-elle à travers les rêves que nous faisons d’elle, non pas les nocturnes mais les rêves diurnes, ceux qui, à l’intérieur d’elle-même et en sa présence, nous permettent d’y vivre, d’y trouver notre place, en la parcourant, en la questionnant silencieusement sous la charge de nos pas répétés, de nos marches harassantes, en l’arpentant justement parce qu’elle nous obsède, nous entête et nous observe autant que nous l’observons, en nous perdant dans (...)