Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Après avoir épuisé nos ruses, nous sommes gagnés par la (...)
Édenville est un lieu-dit situé sur la commune de Jullouville dans la Manche, entre Carolles, les falaises de Champeaux et la plage de Jullouville.
Tous les étés depuis une dizaine d’années j’y passe deux semaines au mois d’août. Ma femme a vécu dans ce lieu-dit une partie de son enfance. Cette année, Jazz en baie l’événement musical qui se déroulait (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
On est plongé en permanence dans des couleurs des vagues (...)
À la fin de l’été 1955, le 24 août pour être précis, au lendemain de l’élection à une forte majorité du candidat démocrate au poste de gouverneur de l’État du Mississippi, M. J. P. Coleman, partisan convaincu de la ségrégation raciale, Emmett Till, un garçon noir de 14 ans, originaire de Chicago, en vacances chez son oncle, entrait dans une épicerie rurale (...)
Roman sombre inspiré de la littérature d’anticipation, Cosmétique du chaos pose la question de l’apparence normée et de l’appartenance à une société baignée par la surveillance de masse et la transparence. Le seul moyen de ne pas perdre son identité, dans le monde futur très proche du notre que décrit l’auteur, serait de dissimuler son visage. Pour décrire (...)
Un jeune scientifique indien ressemblant au scribe du Louvre, vient étudier à Paris. Il apprend à déchiffrer la ville et découvre l’amour. Le récit progresse en va-et-vient, entre sa découverte de la capitale française et la vie de sa famille restée à Calcutta. Célia Houdart saisit avec sensibilité et justesse, dans ce va-et-vient et les formes de (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Soulever le couvercle des apparences, retourner les (...)
Cet atelier s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers d’écriture sur le thème de la ville que j’anime, depuis janvier 2020 et jusqu’en juin, pour le compte de la bibliothèque François Villon (fermée en ce moment pour travaux de rénovation) à la Maison des Associations et de la vie Citoyenne du 10ème. Dans l’impossibilité de le mener encore une fois sur (...)
Une suite de soixante-cinq récits assez brefs, une série de croquis saisis dans le quotidien à partir d’observations sur des inconnus croisés au hasard à Paris ou en province. Tranches de vie, visages volés, portraits drôles ou sombres d’inconnus se croisant et dévoilant à leur insu des moments de leur intimité. Dans ce kaléidoscope de sensations (...)
La pension Belhomme était un ensemble de bâtiments situé au 157-163, rue de Charonne, à Paris 11ème, d’abord utilisé par Jacques Belhomme comme maison de santé pour les déments, les vieillards et tous ceux que des familles fortunées souhaitaient confier à la fin du XVIIIe siècle. Philippe Pinel, précurseur de la psychiatrie, y fera d’ailleurs ses (...)