Les jours passent, je ne suis pas encore sorti depuis l’annonce du confinement. Le ciel se dégage aujourd’hui, les nuages laissent passer la lumière, l’envie de me promener tout en sachant que c’est contrôlé, réglementé. Il y a des motifs valables pour sortir et d’autres non. Une attestation est exigée. La ville s’est vidée depuis quelques jours, au (...)
Ce texte a été écrit dans le cadre de la première séance de l’atelier d’écriture animé en ligne par Laura Vasquez : Écrire chez soi, sur le thème de la foule, à partir d’un texte de Lev Rubinstein (extrait de La Cartothèque).
La foule de ce texte tente de reproduire celle du court-métrage d’animation Tango, (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Impossible de démêler toute l’histoire de nos divisions. (...)
Cet atelier s’inscrit dans le cadre d’une série d’ateliers d’écriture sur le thème de la ville que j’anime, depuis janvier 2020 et jusqu’en juin, pour le compte de la bibliothèque François Villon (fermée en ce moment pour travaux de rénovation) à la Maison des Associations et de la vie Citoyenne du 10ème. Dans l’impossibilité de le mener sur place, suite (...)
Dans le cadre du projet de Constellations sonores lancé par les bibliothèques de Paris et réunissant six d’entre-elles autour des sons de la ville, à l’occasion de leur festival numérique Numok qui aura lieu du 28 mars au 18 avril 2020, je réalise pour la Bibliothèque François Villon une série de portraits sonores qui seront intégrés et diffusés dans (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Il faut discuter longtemps (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
On se demande comment ça (...)
La forme détournée de l’abécédaire est un genre voué à la célébration de l’acte créateur (le livre des livres). Cette année j’ai décidé d’aborder l’abécédaire par la vidéo. Deux fois par mois, je diffuserai sur mon site, un montage d’extraits de films (à partir d’une sélection d’une centaine de mes films préférés : fiction, documentaire, art vidéo) assemblés (...)
Chaque mois, un film d’une demie heure environ, regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Borges, Fictions
Ici, rien d’immobile, pas même (...)
Dans le cadre de sa résidence au C19 d’Évry, avec l’association Préfigurations (coordination Franck Senaud), François Bon va réaliser et diffuser les 23 et 24 janvier 2020 un montage présentant l’intégralité de la version française du texte de Gregory Corso traduite par Jean-Jacques Lebel en 1965 chez Denoël, [1] à partir (...)