
Un début, un milieu, une fin. Comme le voyage, zone comme la zone. Les aventures ont parfois une fin, ici elles n’ont qu’une suite. Ce n’est pas un aboutissement, mais probablement un début. Quand on rencontre les gens, ils ne connaissent ni le début de notre vie ni la fin. Sans compter qu’on n’en sait rien soi-même. Ce n’est pas une ligne droite toute simple. Raccourcis et courts-circuits. Une forme ouverte. Écrire des phrases courtes pour passer d’un point de vue à l’autre plus rapidement, comme dans un morceau de musique, on a plusieurs parties. On sait que c’est fini quand on voit que cela n’a plus de sens de continuer. Une forme d’inquiétude très animale. On reviendrait sans arrêt sur les mêmes notions. Loin des regards indiscrets. En route pour le sombre ? Il y a un moment où l’on ne peut pas aller plus loin sans créer une monotonie. C’est important la monotonie, mais on essaie tous de varier. La phrase perd son sens terrestre pour devenir l’écho de sa mémoire universelle en tant que suite de sons. Il fallait trouver un équilibre. Il fallait trouver le solution dans le cauchemar même. À ma décharge, rien ne débute ici.
