Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLe temps presse et je paresse. Fière allure, dans l’insouciance du rythme la vitesse suffit parfois à combler les vides, les trous. « Au fond de l’inconnu pour trouver du nouveau. » Mais le train soudain ralentit, il poursuit son chemin à son rythme, en roue libre. Sa force d’inertie. Et s’arrête au hasard, ici une gare, sur le quai désert, à l’ombre d’un vieux tilleul. Cette attente paisible forme une parenthèse inattendue et salutaire. Des personnes sur la voie entre Combs-la-Ville et Melun. Je (...)