Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Lumière du ciel et gestes qui continuent à exister comme un refus du passé. L’échelle nous croit toujours au fond du puits. Tous ces cris ne laissant sortir que la violence les mots les gestes. La mesure tout usage est temps glacial en son effort. Non pas du repli sur soi, mais du temps pour soi, de l’épanouissement personnel. Un pas à faire, il n’y a qu’un pas à faire. Une seule chose était étrange : continuer à penser comme avant, savoir.
Lumière du ciel et gestes qui continuent à exister comme un refus du passé. Correspondance du ciel (Le dernier coquelicot)
L’échelle nous croit toujours au fond du puits. L’autofictif 1585 (Éric Chevillard)
Tous ces cris ne laissant sortir que la violence les mots les gestes. Effeuille-t-on (Emmanuelle Delabranche)
La mesure tout usage est temps glacial en son effort. Louis Zukofsky, « A » 9 (première partie) (Terres de femme, d’Angèle Paoli)
Non pas du repli sur soi, mais du temps pour soi, de l’épanouissement personnel. Un abécédaire de la ville astucieuse (3/5) (Philippe Gargov)
Un pas à faire, il n’y a qu’un pas à faire. Places de l’imaginaire (jamais nous ne travaillerons) (Arnaud Maïsetti)
Une seule chose était étrange : continuer à penser comme avant, savoir. Axolotl, par Julio Cortázar (Prolégomènes 8) (œuvres ouvertes, Laurent Margantin)