| Accueil
Planche-contact : semaine n°28

Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.

Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes ou sur Twitter. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.

Premier bilan à mi-parcours : Planche-contact : mots clés

Rue Lafayette, Paris 10, mercredi 11 juillet 2012

Des phrases écrites sur les vitres, dans le plein jour. Séparé du monde, et sans nulle rupture cependant. Chevaucher l’indescriptible, un jour même notre poussière aura un sens. La vie de ces ombres invisibles à la lumière des lampadaires. La phrase vide brûler au feu d’une promesse. Les donner à voir, tenter de leur donner une autre dimension, les réinventer. Le retour n’est jamais le retour. Les mouches, toujours, et le feuillage.

Place de la Bastille, Paris 11ème, dimanche 8 juillet 2012, 11h20.

Place de la Bastille, Paris 11ème, dimanche 8 juillet 2012, 11h20. Des phrases écrites sur les vitres, dans le plein jour. La culpabilité (Les rêves)

Rue du Faubourg Saint-Martin, Paris 10ème, lundi 9 jullet 2012, 17h10.

Séparé du monde, et sans nulle rupture cependant. Que l’anneau des forêts vienne enclore (Jean Prod’hom)

Gare RER D, Villeneuve-Saint-Georges, Val-de-Marne, mardi 10 juillet 2012, 19h.

Chevaucher l’indescriptible, un jour même notre poussière aura un sens. Aporos 1 / 194 (Francis Royo)

Rue Lafayette, Paris 10ème, mercredi 11 juillet 2012, 19h20.

La vie de ces ombres invisibles à la lumière des lampadaires. Fenêtre Ouverte Sur Abandon (Comme un rat fait son terrier)

Gare de Lyon, Salle Méditerranée, Paris 12ème, jeudi 12 juillet 2012 10h05.

La phrase vide brûler au feu d’une promesse. — corps absent — (Déborrah Heissler)

Quai de Seine, Melun, vendredi 13 juillet 2012, 15h15.

Les donner à voir, tenter de leur donner une autre dimension, les réinventer. les terrains vagues dans la ville (Emmanuelle Gabory)

Pont de la Tournelle, Paris 5ème, samedi 14 juillet 2012, 14h30.

Le retour n’est jamais le retour. Les mouches, toujours, et le feuillage. Comme si de rien, Jacques Ancet (Terres de femmes, Angèle Paoli) (Christine Jeanney)


LIMINAIRE le 27/03/2024 : un site composé, rédigé et publié par Pierre Ménard avec SPIP depuis 2004. Dépôt légal BNF : ISSN 2267-1153
Flux RSS Liminaire - Pierre Ménard sur Publie.net - Administration - contact / @ / liminaire.fr - Facebook - Twitter - Instagram - Youtube