Planche-contact : Écriture photographique et mémoire du processus créatif.
Tous les jours je prends une photographie et je la diffuse sur le site Tumblr : Planche-contact, en y associant une phrase trouvée sur l’un des nombreux blogs et sites littéraires que je suis régulièrement sur Netvibes. À la fin de la semaine, je reprends l’ensemble des photos pour les diffuser dans un article avec le texte que j’ai écrit à partir des phrases trouvées pendant la semaine.
Éprouver à nouveau mêlées la sensation du retour et celle de l’éloignement. Une limpidité qui s’approfondit hors de toute logique. Dans les temps d’attente mes rêveries n’avancent pas beaucoup. Vestiges laisserons plus sûrement que traces. Que ce soit vrai ou faux, qu’importe. La forme que nous inventions sans nous voir l’inventer. On peut toujours écrire, photographier, nos instants disparaissent.
Galerie de l’Ourcq, Parc de la Villette, Paris 19ème, dimanche 26 février 2012, 10h45. Eprouver à nouveau mêlées la sensation du retour et celle de l’éloignement. Les années (Norwich)
Opéra Bastille, Rue de Lyon, Paris 12ème, lundi 27 février 2012, 11h15. Une limpidité qui s’approfondit hors de toute logique. Préface de Bernard Noël (Déborah Heissler)
“Detroit, ville sauvage” de Florent Tillon, Paris 10ème, mardi 28 février 2012, 20h30. Dans les temps d’attente mes rêveries n’avancent pas beaucoup. Journal de la crise, sur Oeuvres ouvertes (Laurent Grisel)
Quai du Maréchal Joffre, Melun, mercredi 29 février 2012, 9h30. Vestiges laisserons plus sûrement que traces. Aporos 1 / 070 (Francis Royo)
Train, Ligne Paris-Montargis, Melun, jeudi 1er mars 2012, 9h40. Que ce soit vrai ou faux, qu’importe. Tu as voulu voir la mer (Sabine Normand)
Médiathèque de l’Astrolabe, Rue du château, Melun, vendredi 2 mars 2012, 14h30. La forme que nous inventions sans nous voir l’inventer. La ville est un texte à trous, pour les Vases communicants (Pierre Cohen-Hadria)
Rue Eugène Varlin, Paris 10ème, samedi 3 mars 2012, 16h30. On peut toujours écrire, photographier, nos instants disparaissent. Jacques Demarcq sur Portrait d’une dame (Sitaudis)