« qu’aujourd’hui, parce que j’étais absent, il ne me reste plus que cette pratique de faussaire : l’écriture. »
« Longtemps l’Italie a été un fantasme, tantôt une honte ou une fierté, une fiction le plus souvent, écrit Christophe Grossi dans la postface de son livre paru aux éditions L’Atelier contemporain. Elle était un trou, une présente absence, une (...)
« L’homme qui ne médite pas vit dans l’aveuglement, l’homme qui médite vit dans l’obscurité. Nous n’avons que le choix du noir. »
Victor Hugo, William Shakespeare, I, 5, les Âmes I, 1864.
La lumière naît de la nuit et y replonge.
Miser sur le noir. Se laisser séduire par le prestige de ces différents noirs qui dominent l’horizon imaginaire, en parcourir (...)
Sophie Calle, Antoine d’Agata, Julien Magre, Stéphane Couturier et Alain Bublex ont chacun fait de l’autoroute un territoire d’expérimentation et nous embarquent dans de drôles d’endroits, nous racontent d’étranges histoires, à l’occasion de l’exposition S’il y a lieu je pars avec vous, qui se tient au Bal, du 11 septembre au 26 octobre 2014.
Alain (...)
Entre février 2007 et janvier 2009, j’ai participé à RadioList, la plateforme sonore des arts visuels dans la rubrique Arts sonores avec une série de pièces sonores sur la ville et le cinéma : Sound & Vision. Aujourd’hui je découvre que le site lancé par Xavier Cahen n’est plus en ligne. Je décide donc de mettre en ligne mes pièces sonores sur mon (...)
Aller-retour express en TGV ce vendredi pour intervenir au Séminaire du Diplôme universitaire d’Animateur d’Ateliers d’Écriture, dans le cadre de la Comédie du Livre, au Corum de Montpellier.
En début de semaine j’étais intervenu pour une douzaine de formateurs d’Aleph-Écriture, et quelques autres en province qui assistaient à la séance en (...)
Les Napolitains aiment faire parler la poudre de leurs feux d’artifice.
Les Napolitains se hèlent de la rue au balcon, d’une maison à une autre. Et quand la parole ne suffit pas, le geste vient à la rescousse.
Les Napolitains utilisent des seaux comme monte-charge artisanal (pour monter leurs courses, faire descendre des clefs oubliées, acheter (...)
Une des images que j’avais de Naples s’est ravivée sur place en découvrant tous les graffitis qui recouvrent les murs de la ville : les peintures d’Ernest Pignon-Ernest.
Hanté par les ombres laissées sur les murs, à Nagasaki et à Hiroshima, par les corps volatilisés, Ernest Pignon-Ernest a apposé, entre 1988 et 1995, des images peintes, dessinées, (...)
Nous empruntons le funiculaire de Chiaia qui part de la station Amadeo pour monter jusqu’à la Via Cimarosa. Nous souhaitons nous rendre à la Villa La Floridiana que nous n’avons pas visitée le premier jour de notre arrivée, lorsque nous nous sommes promenés du côté du Cloître San Martino. Le parc est un grand espace de verdure, bien délimité, on ne (...)
L’arrivée à Capri en funiculaire.
La villa Jovis est un site archéologique sur lequel se trouvent les vestiges de la probable résidence permanente de l’empereur Tibère, après son abandon de sa villa de Sperlonga. Située à 334 m d’altitude, sur un éperon rocheux du mont Tiberio, son belvédère permet de visualiser tout un panorama qui va de la baie de (...)
Située sur la Piazza del Gesù Nuovo en face de l’église de Jésus, Santa Chiara est composée d’une basilique (la plus grande église gothique de Naples) et d’un monastère double qui ont été construits entre 1310 et 1340 sur l’emplacement de thermes romains. C’est dans cet endroit que se trouve la tombe gothique du roi Robert et que le corps de son épouse (...)