Pour fêter la fin de nos résidences respectives à Argenteuil, François Bon et moi avons proposé à la Médiathèque d’Argenteuil, le samedi 20 octobre de 15h à 19h, 3 sets de lectures-performance avec Marin Fouqué, Hélène Gaudy, Xavier Mussat, Charles Robinson, Joachim Séné, Pierre Ménard, François Bon et Laura Vazquez. Performances et lectures ont alterné avec (...)
Le jeu de la présence de soi au monde. Musée du Louvre, Paris 1er
Dans le musée, ce moment de fatigue passagère où plus rien ne parvient plus à te toucher, où le besoin se fait sentir de regarder ailleurs, ou de fermer les yeux. Les fenêtres nous attirent et notre regard porte au loin, sans rien voir de précis, juste pour se distraire des (...)
Du lundi 31 mai au jeudi 3 juin 2010, à partir de 23h., dans l’émission de Thomas Baumgartner, séquence 2 voix 5 minutes, diffusion du texte Les lignes de désir de Pierre Ménard, en quatre épisodes.
Réalisation d’Anne-Pascale Desvignes, avec Rebecca Stella et Olivier Claverie (comédiens).
De quoi ça parle, Les Passagers de la Nuit ? De (...)
L’invitation au colloque international Littérature et dispositifs médiatiques : pratiques d’écriture et de lecture en contexte numérique, à l’Université du Québec à Montréal, les 25 et 26 mai 2017, est l’occasion pour moi de faire le point sur le travail des développeurs avec lesquels nous abordons la deuxième version du prototype de l’application mobile (...)
Dans Le message narratif [1] Claude Bremond évoque les travaux de Vladimir Propp sur les contes et note que « toute espèce de message narratif, quel que soit le procédé d’expression qu’il emploie, relève de la même approche à ce même niveau. Il faut et il suffit qu’il raconte une histoire. La structure de celle-ci est indépendante des techniques qui la (...)
Revenir à une écriture plus directe, mobile, au quotidien, reprendre le journal laissé (trop longtemps) à l’abandon. Y évoquer des choses vues (aussi bien dans la rue qu’en vidéo), extraits de livres que je lis, extraits de musique que j’écoute, de vidéo que je consulte, et tout ce que je lis sur Internet où je passe le plus clair de mon temps, pour mon (...)
Pont Saint-Louis
Paysage ouvert, accueillant, semblable à une main montrant de son index un but ou un exemple. Vent sifflotant entre les étroits barreaux du pont métallique. Harpe improvisé, malhabile. Cheveux en bataille. Robe volante et frisson dans le cou, le col relevé. Veston, manteau, suivant la saison, bien remontés. Le froid glaçant dans (...)
« Certains lieux sont particulièrement actifs, révélant des parties de nous-mêmes que nous ignorions ; c’est ce que j’appelle leur « génie », m’appuyant sur la tradition latine. Souvent c’est parce qu’ils sont façonnés par l’homme, qu’ils sont la matérialisation d’une culture ou d’une époque. Parfois un grand artiste, un architecte par exemple, les a façonnés ; (...)
Personne ne saura jamais ce qu’il lui dit. Personne ne saura ce qu’elle lui répond. Personne ne peut comprendre, ne peut imaginer ce qui se jouait entre nous. Personne. Pourtant sur les murs de la ville l’histoire était écrit en toutes lettres. Elle était revenue depuis longtemps, marchant à mes côtés sans que je m’en rende compte, me frôlant, me (...)
C’est toi qui m’avais indiqué la large porte au numéro 9 de la rue Le Regrattier, là où m’appris-tu, le 5 juin 1958, Yves Klein présente pour la première fois l’exécution d’une œuvre avec un pinceau vivant, le terme Anthropométrie sera utilisé à partir de février 1960 par le critique Pierre Restany. L’événement se déroule dans l’appartement de Robert Godet, (...)