Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Ignorer où l’on va mais choisir d’y aller. L’incertitude (...)
Le colloque international La route et ses bas-côtés (imaginaire des lieux autoroutiers liminaires) qui devait avoir lieu en avril 2020 à l’Université de Montréal, a finalement lieu en ligne les 10 et 11 décembre 2020.
En mai 2012, pour répondre à l’appel de textes de création autour d’un trajet, réel ou fabulé « Vers Québec », j’avais écrit à l’époque (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
L’effondrement d’un monde. On pourrait s’amuser à dresser (...)
Walker, soldat engagé dans le Débarquement de Normandie, loin de sa Nouvelle Écosse natale, se souvient par bribes des préparatifs au jour J, du chaos des combats aux vengeances des SS en déroute. Walker revient sur les souvenirs à l’origine de son traumatisme. Dans l’impossibilité de revenir chez lui, depuis son retour, Walker marche : à New-York, à (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Il faut du temps pour que les mots nous éblouissent. Ce (...)
Déambulant à Lisbonne, Paris, New York ou Madrid, à la recherche de la « sensation vraie » muni d’un carnet, d’une paire de ciseaux et de son smartphone, Antonio Muñoz Molina enregistre tout sur son passage, au fil de ses pérégrinations, entre recueil de rêveries et récoltes de choses vues et entendues dans la rue, bribes de conversations entendues à la (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Le silence enveloppe une grande partie des sons de telle (...)
Théo, un jeune homme qui a perdu son père lorsqu’il était enfant, voit ce deuil refaire surface vingt ans plus tard, après le retour inattendu d’une vieille connaissance, un ami perdu de vue avec lequel il aimait se promener en ville. Après son premier roman édité par Publie.net, L’épaisseur du trait où il envisageait la ville dans les deux dimensions du (...)
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux.
« Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ».
Jorge Luis Borges, Fictions
Après avoir épuisé nos ruses, nous sommes gagnés par la (...)
Dans un cinéma du Quartier Latin, du côté d’Odéon, se tient une rétrospective réunissant les grands films de l’année 1958 : La Soif du mal, d’Orson Welles avec Charlton Heston et Janet Leigh, Sueurs froides, d’Alfred Hitchcock avec James Stewart et Kim Novak, Hiroshima mon amour, d’Alain Resnais, avec Emmanuelle Riva, et Eiji Okada, Ascenseur pour (...)