Théo, un jeune homme qui a perdu son père lorsqu’il était enfant, voit ce deuil refaire surface vingt ans plus tard, après le retour inattendu d’une vieille connaissance, un ami perdu de vue avec lequel il aimait se promener en ville. Après son premier roman édité par Publie.net, L’épaisseur du trait où il envisageait la ville dans les deux dimensions du (...)
Finir la journée par un geste qui pèse dans la balance, la notre, interne.
Rennes est une ville universitaire très importante. Depuis la création de Rennes 2 peu avant 1968, des mouvements sociaux d’étudiants ont fréquemment marqué l’histoire du campus. Des graffitis reflétant ces mouvements sont visibles à différents endroits du campus de Villejean. (...)
À l’occasion de l’édition de Comment écrire au quotidien : 365 ateliers d’écriture, par Publie.net, que j’ai présenté également sur Liminaire, la Librairie Dialogues à Brest m’a invité en résidence numérique sur son blog, afin d’en diffuser des extraits et présenter mon travail lors d’une rencontre avec le public.
À l’occasion de cette rencontre chez (...)
Chapter 19, extrait de Dust Lane, de Yann Tiersen
Sur les routes, le rêve d’une chose
tout ce qui, du sein d’une époque cherche à s’arracher
à la pesanteur ou à la répétition
dans une éclaircie, la joie
Dans un espace jalonné dans une chronologie flottante et lacunaire
l’esquisse d’un sentiment (...)
Après avoir suivi l’atelier d’écriture de François Bon à Ouessant d’après Armen de Jean-Pierre Abraham, sans participer, mais saisi par la qualité et la variété des propositions des participants au Musée des phares et balises d’Ouessant (quelques photographies en ligne), je décide de participer en ligne, directement sur mon site, cet atelier inspiré des (...)
Le Conquet, Bretagne, août 2011
Jean-Christophe Bailly nous invite à un cheminement en France avec Stendhal en éclaireur, et ses Mémoires d’un touriste, selon un itinéraire improvisé et rêveur, au risque de s’égarer mais sans jamais nous perdre. Cet ouvrage aux contours formels flous est composé de récits, de longs poèmes en prose, d’études... On suit (...)
Là, à l’instant, devant soi, l’inconnu est si vaste que pour fixer son image, il faut le devenir. Fixer pour égaler, fixer pour dépasser. Pour survivre, il faut lui donner forme, il faut le comprendre, là, intégralement puis dans la succession, par fragment.
C’est possible ici, c’est possible de se sentir grand, d’être au milieu des autres et de (...)
Vous êtes libre de ne pas entrer. Libre de vos mouvements. Ici, les histoires se confondent et se font écho. Dans ses girations, si terriblement matérielles que l’esprit s’en mêle, s’emmêle, c’est une machine à faire tourner l’esprit autour d’un centre qu’on n’a point vu. Existe-t-il vraiment ? Même pas sûr qu’il existe. Mais s’il n’existait pas, autour de (...)