Une des images que j’avais de Naples s’est ravivée sur place en découvrant tous les graffitis qui recouvrent les murs de la ville : les peintures d’Ernest Pignon-Ernest.
Hanté par les ombres laissées sur les murs, à Nagasaki et à Hiroshima, par les corps volatilisés, Ernest Pignon-Ernest a apposé, entre 1988 et 1995, des images peintes, dessinées, (...)
Nous empruntons le funiculaire de Chiaia qui part de la station Amadeo pour monter jusqu’à la Via Cimarosa. Nous souhaitons nous rendre à la Villa La Floridiana que nous n’avons pas visitée le premier jour de notre arrivée, lorsque nous nous sommes promenés du côté du Cloître San Martino. Le parc est un grand espace de verdure, bien délimité, on ne (...)
L’arrivée à Capri en funiculaire.
La villa Jovis est un site archéologique sur lequel se trouvent les vestiges de la probable résidence permanente de l’empereur Tibère, après son abandon de sa villa de Sperlonga. Située à 334 m d’altitude, sur un éperon rocheux du mont Tiberio, son belvédère permet de visualiser tout un panorama qui va de la baie de (...)
Située sur la Piazza del Gesù Nuovo en face de l’église de Jésus, Santa Chiara est composée d’une basilique (la plus grande église gothique de Naples) et d’un monastère double qui ont été construits entre 1310 et 1340 sur l’emplacement de thermes romains. C’est dans cet endroit que se trouve la tombe gothique du roi Robert et que le corps de son épouse (...)
Tentative un peu désespérée ce matin de trouver un bateau qui nous mène à Capri depuis l’embarcadère de Mergellina qui se trouve près de l’endroit où nous habitons cette semaine à Naples.
Sur place, le soleil inonde l’embarcadère, mais aucun navire ne partira d’ici en ce lundi de pâques tous les stands sont fermés. Nous reportons notre croisière à plus (...)
Le taxi roule à grande vitesse sur les boucles de l’autoroute qui traverse la banlieue napolitaine et relie l’aéroport au centre ville avec une rapidité extraordinaire et un léger surcoût. Le véhicule se laisse rouler le long du serpentant Corso Vittorio Emanuele, tout en virage et boucles élégantes, puis descendant doucement vers Mergellina parvient en (...)
« Faut-il peindre ce qu’il y a sur un visage ? Ce qu’il y a dans un visage ? Ou ce qui se cache derrière un visage ? » Cette interrogation de Picasso,
L’exposition Visages : Picasso Magritte Warhol… de la Vieille Charité de Marseille présente 90 artistes majeurs (Picasso, Magritte, Warhol, Bacon, Bonnard, Chirico, Giacometti, Kirchner, Dubuffet, (...)
Un lieu, c’est d’abord son nom. Une origine qui se lit au fil du temps, dans ce nom, où s’inscrit durablement son histoire.
Ici, l’esplanade a pris le nom de Nathalie Sarraute, écrivaine française d’origine russe.
La bibliothèque, emprunte le sien à Václav Havel, dramaturge, homme d’état tchèque, à côté l’auberge de jeunesse se nomme Yves Robert, (...)
Les guerriers Bantou de l’artiste Kouka Ntadi sur un immeuble abandonné du Boulevard Saint-Martin. L’artiste y voit plusieurs significations.
« Le guerrier bantou est à mon sens un symbole de retour à notre nature humaine. Bantou signifie humain en langue Kongo. Ce terme désigne également un ensemble de peuples vivant entre le Cameroun et (...)
C’est un privilège, une chance inouïe, une occasion à ne pas rater, entrer dans ce repli du monde, cette cache soigneusement protégée, cachée, dissimulée, qu’on ne peut atteindre en ville qu’accompagné, guidé, par une personne avec ses entrées, le code à la clé. Je suis resté un long moment derrière les grilles, souhaitant entrer mais ne le pouvant pas, (...)