Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilC’est comme, minuscule à peine, une effervescence avec les mêmes images, leur même lumière, le chêne, son tronc obscur, le chat sur la fenêtre, le silence soudain de l’heure, on ne sait plus trop pourquoi maintenant, plutôt que demain ou qu’hier, pourquoi ici, mais ici, maintenant, c’est partout, c’est le monde qu’on n’entend que quand il se retire comme une vague, et qu’il n’en reste que juste un souffle dont on ignore s’il vient de dedans, de dehors, on regarde ce qui dans la vue ne cesse de se (...)