Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.

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LIMINAIRE
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5 septembre 2009, par Pierre Ménard

Toison, moelle des feux, frayeur du lieu qu’ils peuvent enfin trouer et teinter pour en détisser la rumeur, faces se mirant en creux comme pour y remonter l’Autre, fils des vents, derviche du côté des lumières, qui s’écarte, se laisse porter, glisse où la houle l’entraîne - lui qui n’a connu ni le baiser qui parjure, ni la main qui berce et délie... Assis sur le banc, tu respires, regardes...
Ce qu’on ne peut gommer ne tient pas de l’irréductible, mais de la traîtrise, l’œil tirant sa jouissance d’un (...)

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