Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLà, à l’instant, devant soi, l’inconnu est si vaste que pour fixer son image, il faut le devenir. Fixer pour égaler, fixer pour dépasser. Pour survivre, il faut lui donner forme, il faut le comprendre, là, intégralement puis dans la succession, par fragment. C’est possible ici, c’est possible de se sentir grand, d’être au milieu des autres et de pouvoir tendre les bras. J’ai cette lumière sous les yeux actuellement. Ne rien dire. Ne rien taire. Ne rien... Je disparais, ici. Je me dis : retour sur (...)