Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn réaction à mon article sur le son dans le cinéma de John Smith, Ne pas croire les mots sur parole et le travail sonore d’Aki Onda Gabriel Franck me signale en écho le film Café lumière de Hou Hsiao-hsien. « On arrive en train, comme souvent chez Hou Hsiao-hsien, écrit François Gorin dans Télérama. On est au Japon, comme à la fin du nocturne et flashant Millennium Mambo, son film précédent. On est avec Yoko, une jeune femme qui partage sa vie entre Taipei et Tokyo - comme le cinéaste lui-même, ces (...)