Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLongtemps après que la rumeur des moteurs détonants du carrefour eut cessé, que le roulis pneumatique des voitures s’estompa, que la foule des passants à la sortie du métro se fut dispersée, le couloir du trottoir en goudron fraîchement refait à neuf en certains endroits, marquant au sol un tracé abstrait au message sibyllin, devant la façade du café, continua à vibrer des agissements sonores de la ville, comme le vacarme assourdissant d’un tonnerre d’applaudissement à la fin d’un spectacle, recouvrant (...)