Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLe texte qui suit a été écrit dans le train Paris-Marseille et Marseille-Paris, à l’occasion de ma venue à Marseille pour évoquer Les autonautes de la cosmoroute de Julio Cortázar aux Bancs Publics dans le cadre du centenaire de sa naissance.
Ce texte a été écrit spécialement pour la lecture à laquelle Mathilde Roux m’a invitée, samedi 5 avril, à 18h30 à Bibliothèque Marguerite Audoux, pour le vernissage de son exposition Territoires des possibles : cartes en calques, découpes, cheminements dans le corps du (...)