Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn l’absence de communication radio ou de radar, les pilotes engagés dans les années 20 dans la traversée des États-Unis de nuit pour la poste aérienne, devaient utiliser des avions de surplus de la Première Guerre mondiale, et s’appuyer, pour se guider dans leur plan de vol, sur des cartes de navigation souvent imprécises, inutiles de nuit, et risquaient de se perdre. La plupart du temps, ils étaient seuls en l’air, à voler au-dessus d’un territoire désertique, espérant atteindre la destination sans (...)