Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| Accueil« Chaque jour dans le miroir je regarde la mort au travail. » Jean Cocteau
Le temps est venu de rattraper le temps. Il y a une autre manière de rendre hommage aux morts. C’est de continuer à les considérer comme des vivants. Et lorsque je me promène au Père-Lachaise, je vais à leur rencontre en me perdant dans le labyrinthe des allées du cimetière aux pavés disjoints.
Dans son très beau poème en forme de lettre à l’adresse de Lamartine, Alfred de Musset parle de l’oubli et de la mémoire. De la (...)