Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilÉcrire n’est pas oublier. C’est photographier le temps. À chaque photographie de la série de Planche-contact une phrase extraite d’un blog ou d’un site que je suis, que je lis régulièrement, dont l’écriture m’accompagne au quotidien, était associée. Ce jour-là de l’année dernière, la phrase provenait du blog Aux bords des mondes d’Isabelle Pariente-Butterlin.
« C’est une encoche de plus dans la confiance dans le monde. Une entaille de plus dans la chair du monde. Trois fois rien. Ce qui nous use. Ce qui (...)