Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilEn 2008, j’ai écrit dans le premier numéro de la revue myopies de Guillaume Fayard, un long article sur la photographe Amy Stein, dont je publie ici un large extrait. C’est en découvrant le travail photographique de Sandy Carson (Ghosts in the City), dont je reparlerai ici plus longuement, que j’ai eu envie de diffuser cet ancien texte. Domestiqués Amy Stein est photographe. Elle vit et enseigne la photographie à l’école de design et d’arts visuels Parsons de New York. Elle a fait l’objet (...)