Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilTexte écrit lundi midi pendant que mes étudiants de Sciences Po travaillaient sur la description de la ville en s’inspirant de l’écriture de Guillaume Fayard, suivant la même contrainte que celle que je leur avais indiqué. Dans la tension du texte qui s’écrivait face à eux, en même temps qu’ils écrivaient eux aussi, et qui était vidéoprojeté sur l’écran blanc resté allumé après ma présentation d’Audacity.
Lentement, temps de, dans la chaleur de tes, sans fin des profondeurs, taxis silencieux. Corps hagard, (...)