Une palpitation, un mouvement encore immobile, un espace de sursis dans la dissolution.
| AccueilLire pour n’être plus soi. Donc, même tout gosse, je lisais tout, je continue d’ailleurs. Si mes parents me disaient : « On n’a pas le droit de lire à table », je continuais. Je lisais les étiquettes des bouteilles de bière, je lisais les étiquettes des boîtes, parce que pour moi si c’était écrit c’est que c’était important, donc je continue ça. Qu’on ouvre ou ferme la fenêtre, il y aura toujours le temps. C’est une question d’exercice, d’exercer son œil. Une tentative de mettre au jour et, en même temps, de (...)