Dear Esther est un jeu narratif à la première personne (merci à Coline Sidre de me l’avoir fait découvrir) où le joueur est un explorateur naufragé sur une île britannique, dans les Hébrides, errant sans but précis. Le jeu ne suit pas les protocoles traditionnels du jeu vidéo, proposant une interaction minimale au lecteur qui n’a qu’assez peu de choix à (...)
L’exposition d’Éric Rondepierre à la Maison Européenne de la Photographie développe une vision panoramique de l’œuvre du photographe avec une dimension rétrospective sur le travail de photographe, en exposant l’ensemble des séries réalisées par Éric Rondepierre durant les vingt dernières années. Eric Rondepierre
Le travail photographique d’Éric (...)
À l’occasion de ma participation au 21ème Salon du Livre de Casablanca, invité par l’Institut Français de Casablanca, j’ai passé quatre jours à sillonner la ville avec mon appareil photo et mon enregistreur numérique.
Le texte lu dans cette pièce sonore est un cut-up d’extraits du magnifique livre Sainte Rita d’Hicham Lasri, publié aux éditions Le (...)
J’ai été invité à participer dans la matinée de jeudi à une journée thématique organisée par le Festival du 1er roman de Chambéry sur le thème du roman contemporain avec Patrick Longuet, maître de conférences à l’Université de Savoie, directeur d’études à l’ESPE de Chambéry, Myriam Anderson, critique littéraire, traductrice, agent d’auteurs, éditrice chez Actes (...)
Google Street View est un révélateur de notre expérience de la ville, de notre rapport au temps et en particulier, de la paradoxale tension entre notre indifférence quotidienne aux choses qui nous entoure et notre incessante recherche de connexion et d’interaction.
Cet atelier d’écriture permet de porter sur Street View et le monde qu’il dessine, un (...)
Tout le monde a certainement remarqué que les lendemains de fête, qu’il pleuve ou qu’il neige, qu’il vente ou qu’il fasse beau, même en ce cas de figure assez rare à Paris, on n’a guère envie d’aller se promener en ville, même bien couvert, même à l’abri d’un parapluie ou en compagnie d’une amie chaleureuse ou d’une compagne aimante. Les lendemains de fête on (...)
Tu m’avais fait une surprise pour mon anniversaire que je n’ai pas oubliée, tu disais souvent que tu n’aimais pas les papiers cadeaux, inutiles selon toi, vu que nous nous empressions de les déchirer, sans le respect des Japonais et leur furoshiki nouant un carré de tissus. Tu avais disséminé un ensemble de cadeaux dans tout mon appartement, un livre (...)
« La pratique du floutage, écrit André Gunthert sur son blog L’image sociale précédée depuis les années 1950 par celle du masquage par un bandeau, est un usage typique de la presse à scandale, qui a pour but de préserver la publication d’une image, alors que celle-ci expose à un risque juridique ou révèle l’identité d’un acteur de manière non souhaitée. » (...)
L’année dernière, Gaétane Laurent-Darbon, photographe vivant à Marseille, a lancé une série photographique autour des sapins de Noël abandonnés dans la rue, Our 390 Christmas Trees, série publiée sous forme d’album sur Facebook à laquelle une quarantaine de personnes ont participé en envoyant leurs clichés. J’évoquais ce projet sur mon site l’année (...)
Le MacGuffin c’est l’élément moteur qui intervient dans le développement d’un scénario, d’une histoire. C’est presque toujours un objet matériel, généralement mystérieux, sa description est vague et sans importance. Le principe date des débuts du cinéma mais l’expression est généralement associée au cinéaste Alfred Hitchcock, qui l’a redéfinie, popularisée et (...)