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Coupe-le, de Corinne Lovera Vitali
Monologue poétique composé de quatre chants, le récit non chronologique de Corinne Lovera Vitali décrit une série d’expériences traumatiques d’une femme à la découverte d’elle-même, entre l’enfance et l’âge adulte. Son expérience répétée du couple est celle d’une coupure, elle se retrouve dans « l’incapacité à vivre avec quiconque sur la durée de ce qu’est la (...)
Journal du regard : Novembre 2020
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions L’effondrement d’un monde. On pourrait s’amuser à dresser (...)
Ordre aléatoire des images, de Marco Boubille
En 1998, je découvre les premiers Photomatons abandonnés dans les cabines parisiennes. Avec des amis complices, je me lance dans la récolte et la collection de ces photomatons, photos ratées, déchirées, maculées, souillées, abandonnées ou jetées sur le sol, dissimulées au-dessus de la cabine, dans les gares ou les stations de métro à Paris. Une (...)
Journal du regard : Octobre 2020
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Il faut du temps pour que les mots nous éblouissent. Ce (...)
Histoire du fils, de Marie-Hélène Lafon
Histoire du fils est la chronique d’une famille dans le Cantal à travers quelques dates clés du siècle (de 1908 à 2008) qui servent de fil conducteur à une filiation, récit d’une généalogie bouleversée. Rencontre, deuil, accident, mariage, naissance, à chaque fois la famille se retrouve. Les liens se renouent, poids des secrets et des silences. Une (...)
Journal du regard : Septembre 2020
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Le silence enveloppe une grande partie des sons de telle (...)
Autoportrait en trois couleurs
Better Git it in your soul (Mingus Ah Um), 1959
Journal du regard : Août 2020
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Après avoir épuisé nos ruses, nous sommes gagnés par la (...)
Superpositions sonores et variations visuelles
Dans un cinéma du Quartier Latin, du côté d’Odéon, se tient une rétrospective réunissant les grands films de l’année 1958 : La Soif du mal, d’Orson Welles avec Charlton Heston et Janet Leigh, Sueurs froides, d’Alfred Hitchcock avec James Stewart et Kim Novak, Hiroshima mon amour, d’Alain Resnais, avec Emmanuelle Riva, et Eiji Okada, Ascenseur pour (...)
Journal du regard : Juillet 2020
Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions On est plongé en permanence dans des couleurs des vagues (...)

Biographie
LIMINAIRE le 24/04/2024 : un site composé, rédigé et publié par Pierre Ménard avec SPIP depuis 2004. Dépôt légal BNF : ISSN 2267-1153
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